Description L’exploitation sexuelle implique qu’une personne profite du corps d’une autre à des fins sexuelles en vue d’en tirer un avantage (financier ou autre). Généralement, l’exploiteur profitera de l’état de vulnérabilité ou de dépendance de sa victime, dont la dépendance aux drogues ou à l’alcool. L’exploiteur (homme ou femme) peut être mineur ou majeur et il peut agir pour son compte personnel ou pour le compte d’une organisation criminelle (gang de rue, crime organisé). Plusieurs formes de violence sont utilisées par l’exploiteur pour maintenir son emprise sur sa victime et l’obliger à se prostituer. Par exemple, l’exploiteur peut :
Malheureusement pour les sugar daddy je ne suis pas attiré par ce type de chose mon indépendance exemplaire veux rien savoir d'eux et ma hâte de la drogue aussi et mon courage les envoie chiez.
mentir à sa victime en lui promettant des cadeaux ou des récompenses (violence psychologique);
manipuler sa victime en se montrant vulnérable et démuni, cherchant à recevoir son soutien, d’abord, moral et ensuite, financier (violence psychologique et économique);
faire croire à sa victime qu’il est follement amoureux d’elle (violence psychologique);
faire du chantage ou menacer verbalement sa victime (violence psychologique et verbale);
emprunter de l’argent au nom de sa victime (frauder sa victime) (violence économique);
amener sa victime à commettre des actes criminels pour mieux la manipuler par la suite (violence psychologique);
dominer sa victime en la menaçant physiquement ou en la frappant (violence physique);
menacer de s’en prendre aux membres de la famille de la victime (violence psychologique);
faire subir des agressions sexuelles à sa victime (violence sexuelle);
séquestrer sa victime, la priver de nourriture ou de vêtements pour mieux la contrôler (violence psychologique, économique et physique)
etc.
Prostitution
Il est pratiquement impensable de traiter d’exploitation sexuelle sans d’abord expliquer ce qu’est la prostitution, pour ensuite pouvoir mieux situer les notions associées.
La prostitution est le fait d’offrir des services sexuels contre rétribution, généralement en argent, mais parfois en services, en drogues, etc.
Au Canada, fournir des services sexuels n’est pas illégal. C’est plutôt le fait d’acheter et de consommer des services sexuels qui est illégal. Les clients, majoritairement des hommes, commettent donc un acte criminel en communiquant avec une personne en vue d’obtenir un service sexuel ou en magasinant, en achetant ou en consommant un tel service, peu importe que la personne qui fournit ce service soit mineure ou majeure.
Voici ce qui est considéré comme un service sexuel dans la loi :
rapports sexuels;
masturbation;
relations sexuelles orales;
danse-contact (s’asseoir sur les genoux d’un client et simuler un rapport sexuel);
activités sadomasochistes, pourvu que les actes puissent être considérés comme sexuellement stimulants ou satisfaisants.
Les services sexuels offerts par Internet devant une caméra sont aussi considérés comme de la prostitution. Bien qu’il y ait des personnes qui décident de faire de la prostitution, la plupart du temps, les personnes prostituées sont sous l’emprise d’un exploiteur qui leur soutire des profits pour son compte personnel, pour un gang de rue ou pour le crime organisé. La prostitution est peut-être moins visible dans les rues qu’elle ne l’a déjà été, mais elle n’a pas disparu. Au contraire, elle s’est beaucoup diversifiée et la demande pour des services sexuels rendus par des personnes de plus en plus jeunes a augmenté. Le magasinage de services sexuels se fait beaucoup en ligne, ce qui facilite encore plus le contrôle des exploiteurs sur leurs victimes.
Formes d'exploitation sexuelle Les formes d’exploitation sexuelle prennent des appellations différentes en fonction de l’âge des individus impliqués, du contexte ou du type de relation qu’ils entretiennent et de ce que la loi prévoit dans les différentes situations d’exploitation sexuelle.
Proxénétisme et traite de personnes à des fins d’exploitation sexuelle
Au Canada, le proxénétisme et la traite de personnes à des fins d’exploitation sexuelle sont des réalités comparables puisque dans les deux cas, la victime est contrainte de rendre des services sexuels. Les différences entre ces deux notions sont essentiellement d’ordre juridique. De plus, la traite de personnes au Canada affecte surtout des Canadiens : seulement 10 % des cas de traite concernent des personnes provenant d’un autre pays.
Il y a proxénétisme ou traite de personnes à des fins d’exploitation sexuelle lorsqu’un exploiteur oblige, par différents moyens, une personne à offrir des services sexuels et sollicite une partie ou la totalité de ses gains. L’exploiteur peut être :
le conjoint ou la conjointe
un ami ou une amie
un supposé « protecteur »
un pimp
un proxénète
un trafiquant
un sugar daddy
etc.
Au départ, les victimes sont généralement mises en contact avec l’exploiteur par l’entremise d’amis ou de connaissances communes, entre autres, grâce aux médias sociaux et à Internet. Certains exploiteurs abordent aussi directement les jeunes dans les bars, les centres commerciaux ou à la sortie des écoles ou des centres jeunesse. Au premier abord, ils ne se présentent pas comme des exploiteurs aux jeunes qu’ils abordent. Ils se montreront plutôt séduisants, généreux (cadeaux, drogues gratuites, voyages, etc.) et protecteurs.
Par la suite, lorsque la victime devient amoureuse ou dépendante de son exploiteur (pour son affection, pour ses liens avec un groupe, pour son argent, pour sa drogue, pour son statut social, etc.), il peut la manipuler et l’inciter, voire l’obliger, à offrir des services sexuels pour :
rembourser la drogue offerte;
compenser les cadeaux offerts;
contribuer aux dépenses communes;
rester en relation avec lui;
rester en vie.
L’exploiteur peut utiliser diverses formes de violence et différents moyens plus contraignants pour arriver à ses fins, par exemple :
profiter du statut d’immigrant illégal de la personne pour la manipuler;
confisquer les pièces d’identité de la personne pour la limiter dans ses déplacements;
menacer de s’en prendre à sa famille si la personne désobéit;
obliger la personne à consommer de l’alcool, des drogues ou des médicaments pour la désorienter;
séquestrer et utiliser la violence physique contre la personne ;
agresser sexuellement la personne ou lui faire subir des agressions sexuelles par d’autres personnes;
isoler la personne en la déplaçant d’une ville à une autre ou en l’obligeant à couper les liens avec ses proches;
obliger la personne à se faire tatouer le nom ou le surnom de son exploiteur en signe d’appartenance;
etc.
Les adolescentes et les jeunes femmes, en grande majorité, qui sont amenées à rendre des services sexuels sont souvent attirées par le côté jet set mis de l’avant par les exploiteurs et la gratification sociale qu’elles peuvent en retirer. Partys chic « tout inclus », vêtements griffés, produits de beauté et bijoux en quantité, déplacements en voitures de luxe, voyages, etc. Ce sont là des méthodes de manipulation des exploiteurs pour séduire et aveugler leurs victimes. Celles-ci deviennent ainsi plus facilement manipulables et même dépendantes d’eux. Pour plusieurs victimes, la décision d’offrir des services sexuels (en étant escortes, masseuses, danseuses, etc.) n’est pas une décision libre et éclairée. Elles sont souvent amoureuses de leur exploiteur, se sentent en sécurité avec lui, veulent démontrer leur engagement ou leur solidarité, etc. Souvent, la sexualité aura été déconstruite : « l’amour » avec l’exploiteur; « le sexe » avec les clients. Certaines passent aussi par le viol collectif (gang bang forcé) à titre d’initiation. Le viol collectif peut alors être filmé et ensuite utilisé pour menacer la victime de transmettre la vidéo à certaines personnes. Généralement, les jeunes qui acceptent d’offrir des services sexuels sont prêtes à le faire temporairement. Par exemple, elles le feront pour payer leurs dettes ou aider leur exploiteur à se remettre financièrement. Toutefois, la réalité est tout autre : il est très difficile de cesser ses activités et de sortir de ce milieu par la suite. En effet, les dettes envers l’exploiteur ou le montant de la « clause de sortie » (montant qui libère la victime de l’emprise de son exploiteur), la dépendance aux drogues ou à l’alcool, l’impression de n’avoir aucune autre option, la honte, le sentiment de culpabilité et la crainte que des membres de la famille soient au courant de ses activités de prostitution sont des obstacles de taille. Considérant ces obstacles, la fuite et la nécessité de se cacher deviennent parfois les seules options pour les victimes qui souhaitent s’en sortir. Bien qu’elle ne représente que 10 % des cas de traite provenant d’un autre pays au Canada, la vente de jeunes femmes esclaves déguisée en mariages ou en offres de travail existe comme partout dans le monde. Consultez le guide L’égalité dans le couple et la famille (PDF 249 Ko) pour plus d’informations. Les victimes, en presque totalité des femmes, se font leurrer par leur exploiteur. Elles se retrouvent souvent totalement isolées, voire enfermées sans droit de sortie, ce qui fait en sorte qu’il est très difficile de savoir qu’elles ont besoin d’aide.
Tourisme sexuel On parle de tourisme sexuel lorsque des personnes voyagent dans un autre pays dans le but d’avoir accès à des personnes prostituées (généralement des enfants et des adolescents, garçons ou filles) plus facilement et à l’abri des lois de leur pays. Toutefois, les Canadiens qui voyagent dans ce but ne sont pas à l’abri des lois canadiennes. En effet, le Code criminel interdit expressément le tourisme sexuel impliquant des enfants. Ainsi, tout citoyen canadien ou résident permanent au Canada qui contrevient à cette loi, même s’il est dans un pays où la prostitution est légale, peut être accusé et poursuivi au Canada pour ces infractions. Si cette forme de tourisme permet à des visiteurs d’acheter des services sexuels, elle ouvre aussi la porte à l’achat de femmes et d’enfants pour en faire des esclaves sexuels. Certains pays sont reconnus pour ce genre de transactions qui sont souvent déguisées en mariage, en offre de travail (aide à la maison, nounou), en bourse d’études, en mentorat, etc. Certains événements populaires (sportifs, culturels, etc.), au Québec comme ailleurs dans le monde, ont été identifiés comme des périodes augmentant de manière considérable le tourisme sexuel. Les touristes sexuels sont souvent à la recherche de personnes prostituées jeunes qui présentent un caractère « exotique » pour eux, entre autres en raison de leur langue parlée.
Pornographie juvénile La pornographie juvénile est une forme d’exploitation sexuelle des personnes mineures au Canada. On considère qu’il y a pornographie juvénile lorsqu’une personne visionne, possède, produit ou distribue (sur Internet ou par la poste) du matériel (photos, vidéos, audio, écrit) représentant des parties du corps de personnes mineures dans un but de satisfaction sexuelle ou représentant des personnes mineures se livrant à une activité sexuelle. Les personnes mineures qui participent à la pornographie juvénile ne sont pas toujours au courant que l’activité sexuelle à laquelle elles s’adonnent est filmée ou que le matériel sera publié. Souvent, ces enfants et adolescents sont des esclaves sexuels, qui sont contraints de se soumettre à ces activités pornographiques sous peine d’être affamés, battus, violés, etc. Le site cyberaide.ca fournit davantage d’information sur la pornographie juvénile ainsi que sur d’autres problèmes d’abus comme le leurre d’enfants par Internet. Ce site permet aussi aux gens de signaler des personnes soupçonnées d’exploitation sexuelle. La section Sextage de la page Vie affective et amoureuse fournit aussi de l’information au sujet du partage d’images sexuelles. Partager des images sexuelles sans avoir obtenu le consentement de la personne présente sur celles-ci est considéré comme posséder du matériel pornographique, et ce, peu importe l’âge des personnes concernées.
Consentement et activités sexuelles Dans les situations d’exploitation sexuelle, la personne exploitée est dépendante ou sous le contrôle d’une autre personne, alors son consentement aux activités sexuelles n’est pas valable. Ainsi, une ou un adolescent exploité ou en situation de dépendance par rapport à son exploiteur n’est pas en mesure de consentir à des activités sexuelles. De plus, les activités sexuelles recherchées par les clients ne sont pas nécessairement des pratiques qui conviennent aux personnes prostituées : certains clients cherchent à assouvir des pulsions (souvent de contrôle ou de domination) ou à réaliser des fantasmes particuliers. Cependant, aucun client ne peut exiger un service d’une personne prostituée si elle refuse de le fournir en partie ou en totalité. En effet, les personnes prostituées ont le droit de consentir à seulement une partie des pratiques demandées et elles ont le droit de retirer leur consentement à tout moment, et ce, que le service sexuel demandé soit entamé ou non et que le montant d’argent soit bonifié ou non. Malgré tout, il arrive que des clients utilisent la force physique pour soumettre la personne prostituée à leurs désirs. Ces situations ne sont pas sans conséquences pour les victimes (voir Conséquences de l’exploitation sexuelle).
Facteurs de vulnérabilité
Les personnes prostituées ont très souvent été agressées sexuellement ou violentées en bas âge ou dans leur couple. Elles peuvent aussi être issues d’un milieu de vie instable, parfois d’un milieu défavorisé, ce qui les rend vulnérables aux techniques de « séduction » des exploiteurs. Certaines situations fragilisent davantage les victimes, comme être :
en peine d’amour,
en conflit avec ses parents,
dépendant des drogues,
isolé socialement ou marginalisé,
en fugue,
etc.
Les femmes autochtones qui quittent leur communauté pour mieux gagner leur vie et qui se retrouvent seules dans les grandes villes sont des victimes idéales pour les exploiteurs : elles ne parlent pas toujours français, parfois difficilement anglais, elles ont souvent besoin d’argent rapidement, de se créer un nouveau cercle social, de trouver un endroit où dormir, etc.
Conséquences de l’exploitation sexuelle
La plupart des femmes du milieu de la prostitution disent qu’elles ne voudraient jamais voir leur propre fille intégrer ce milieu, qu’elles-mêmes souhaiteraient quitter pour gagner leur vie autrement. Ces femmes ont souvent intégré le milieu étant très jeunes (14-15 ans en moyenne au Canada) dans des circonstances donnant l’impression qu’elles pourraient se prostituer temporairement et cesser dès qu’elles le voudraient.
Des études ont permis de documenter que la majorité des femmes prostituées souffrent du syndrome du stress post-traumatique en raison de leur passage dans ce milieu. Les effets ressentis de ce syndrome peuvent être :
un sentiment de peur intense, d’horreur et d’impuissance, accompagné d’un ou de plusieurs symptômes de malaises physiques;
des flash-backs ou des pensées obsessionnelles;
de la détresse, qui se manifeste par de l’anxiété et de la dépression;
de la difficulté à ressentir certaines émotions, par exemple la tendresse et le désir sexuel;
de la difficulté à se concentrer ou à trouver le sommeil;
de l’hypervigilance, un état d’alerte constant, qui fait que la personne est prête à réagir en toutes circonstances.
D’autres répercussions du passage dans l’industrie du sexe peuvent se faire ressentir à plus long terme, par exemple :
itinérance;
difficulté d’insertion professionnelle;
problèmes de consommation de substances;
difficulté dans les relations interpersonnelles;
stigmatisation;
etc.
De plus, le taux de mortalité des personnes prostituées est 40 fois supérieur à la moyenne canadienne.
Je suis un parent ou une personne proche témoin d’exploitation sexuelle
Si vous êtes témoin d’une situation qui demande une aide immédiate, contactez le 9‑1‑1.
Être témoin d’exploitation sexuelle peut vous mettre dans une position délicate. Il se peut aussi que vous soyez mal à l’aise avec l’idée de « vous mêler de ce qui ne vous regarde pas ». Sachez toutefois qu’il est tout à fait légitime de vouloir venir en aide à une personne vivant de l’exploitation sexuelle. La meilleure option est de communiquer avec la ligne-ressource provinciale pour les victimes d’agression sexuelle au 1 888 933‑9007. Vous pouvez aussi :
dénoncer cette situation à votre service de police ou anonymement à Info-crimes Montréal;
demander l’aide de ressources scolaires, communautaires ou de la santé;
consulter des ressources Web comme le site Web de la sécurié publique .
J’ai acheté les services d’une personne exploitée sexuellement Se rendre compte qu’on a peut-être contribué à l’exploitation sexuelle d’une personne peut être fortement déstabilisant. On peut avoir de la difficulté à regarder la réalité en face et à assumer ses paroles et ses gestes. Communiquer avec la ligne‑ressource provinciale pour les victimes d’agression sexuelle et d’exploitation sexuelle au 1 888 933‑9007 ou avec Centre d’intervention en délinquance sexuelle de Laval 579 641‑3941.
Aide et ressources Urgence Si vous avez besoin d’une aide immédiate, contactez le 9-1-1. Ligne-ressource pour victimes d’agression sexuelle et d’exploitation sexuelle Offre un service bilingue, gratuit, anonyme et confidentiel 24/7, partout au Québec.1 888 933‑9007 Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC) Les CAVAC sont présents dans toutes les régions du Québec et vous donnent accès à des professionnels formés en intervention.1 866 532‑2822 Concertation des luttes contre l’exploitation sexuelle (CLES) - Montréal Offre des services et du soutien aux femmes ayant un vécu en lien avec la prostitution et offre de la correspondance par courriel. Guide d’information destiné aux proches des victimes d’exploitation sexuelle514 750‑4535 Service de police de la Ville de Montréal Le programme Les Survivantes (Montréal) offre du soutien aux victimes d’exploitation sexuelle et à leurs proches. Contacter votre poste de quartier du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) Programme Les Survivantes (Laval) 514 894‑4593 CourrielTel-Jeunes Offre du clavardage en temps réel de 8 h à 22 h 30, 7/7 et de l'écoute téléphonique 24/24, 7/7.1 800 263‑2266 SOS violence conjugale SOS violence conjugale offre de l'écoute téléphonique, un soutien psychologique, de l'intervention immédiate ainsi qu'un service de référence aux maisons d'hébergement (SOS violence conjugale peut appeler pour toi).1 800 363‑9010 Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) Le CALACS offre de l'aide directe aux femmes et aux adolescentes agressées sexuellement. Il offre également du soutien téléphonique, des groupes de soutien, un service d'accompagnement aux victimes fin de les appuyer dans leurs démarches (police, hôpital, etc.) et des services aux proches des victimes.1 877 717‑5252 Faire un signalement au drecteur de la protection de la jeunesse (DPJ)Vous pouvez faire un signalement au DPJ 7/7, 24/24, par téléphone ou par écrit. Coordonnées des organismes du programme ESPACE (familles et enfants) Le programme ESPACE offre des ateliers divers auprès des enfants et de l'écoute téléphonique. À cœur d’homme Service de référence, d’intervention et de suivi qui offrent de l’aide aux conjoints et aux pères ayant des comportements violents. 1 877 660‑7799 Mobilis (Longueuil) Équipe intégrée d’intervention et soutien aux victimes d’exploitation sexuelle offrant un soutien aux victimes d'exploitation sexuelle et un soutien aux proches des victimes d'exploitation sexuelle. 450 463‑7192 Cyberaide Centrale canadienne de signalement des cas d’exploitation sexuelle d’enfants sur Internet. 1 866 658‑9022 Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) La CDPDJ offre des services gratuits auprès des personnes dont leurs droits de la personne ou leurs droits de la jeunesse ont été atteints. Il est également possible de porter plainte en ligne.1 800 361‑6477 Centre d’intervention en délinquance sexuelle (Laval) Offre des services de référence et d’intervention auprès des personnes ayant ou non commis un délit sexuel et des services d’aide aux personnes aux prises avec des fantasmes déviants sans passage à l’acte.579 641‑3941
Prendre note que en tant qu'artiste je travaille conjointement contre l'exploitation sexuelle avec la police en tant que professeure et comme militante meetoo
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Photoshoot storm sous peu dans le cadre de l'opération Cyclope contre les agression sexuelle des pornographe et sollicitation sexuelle dans le milieux culturelle
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